Bonjour à tous,
Un petit mot aujourd’hui pour parler de l’attitude de drogué.
Et oui. Ce constat peut paraitre brutal et tellement simple en même temps que votre égo risque de ne pas vouloir lire ou entendre plus longtemps cet article. Et pourtant, il est fort probable, que si l’instinct de survie que l’égo représente, vous signale de fuir ces mots, que vous soyez familier avec ce concept.
Je pose la question afin que votre égo puisse prendre sa place dans ces lignes et laisser la porte ouverte à la prise de conscience 😉 :
Vous êtes vous rendus compte que vous agissiez comme un drogué à certains moments de votre vie ? Vous nourrissant exclusivement de souffrance et de drame ? Sans aucun moyen autre d’en sortir que de tourner en boucle dans votre tête avec l’intime conviction que toute la vie est contre vous ? Qu’aucune solution existe ? Que personne ne vous aime ? Que personne ne peut vous comprendre ? Et jusqu’à un certain point, que vous avez besoin de rallier à vous, un maximum de personnes en invitant qui veut vous entendre à signer pour votre cause?
Avez-vous déjà vécu ça ? 😉
Cette attitude de drogué, nous l’avons tous vécu à un moment ou à un autre dans un domaine de la vie particulier que se soit dans le travail, la vie familiale, l’alimentation, la cigarette, le sexe, le drame, la projection, le canabis, ou bien d’autre substances addictives !
Que l’on prenne des substances chimiques comme les médicaments, ou industrielles comme l’alimentation, ou que l’on se nourrisse de la peur et du drame, l’attitude est la même. Elle déclenche dans le corps physique des réactions identiques. Ainsi, si l’on ne vit pas de drame pendant quelques heures, le corps va demander sa dose et donc, va alimenter l’égo pour qu’il retourne sur une vielle rancoeur ce qui va créer dans votre corps une détente, parce que vous aurez connecter avec ce film de souffrance et donc, vous aurez eu votre dose…
Sans prise de conscience, un drogué, et encore une fois, quelques soit la dose qu’il demande, va avoir besoin pour s’en sortir de se rendre compte de ce qu’il se passe en vrai. Et il va avoir besoin de prendre conscience qu’il est tellement plus fort que ça pour dire non, qu’il a tellement plus de courage en lui que de soumission, qu’il aura besoin parfois d’être accompagné et soutenu à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Oui. N’importe quand, car la drogue qu’elle soit mentale ou matérielle ne connait pas le temps.
Je vous invite donc, à vous poser quelques secondes et à vous connecter à un drame qui tourne en boucle dans votre tête, peut-être depuis des années et des années, et de vérifier en vous quelles sont les parties de vous qui veulent absolument leur dose quand vous pensez à cet évènement. Identifiez-les.
Et maintenant que vous les avez identifiées, il suffit de les remercier d’être présentent et de vous avoir permis de vivre ces expériences. Puis choisissez de conserver ces attitudes e droguées, si elles vous semblent toujours nécessaire ou de les libérer si ce n’est pas le cas en leur disant STOP, lorsqu’elle se manifesteront à l’avenir.
C’est là votre grandeur ! C’est là votre force d’être Humain !
C’est la répétition du Non, du Stop qui vous permet d’être merveilleux et de guérir !
Et si vous n’y arrivez pas, l’idée est de vous faire accompagner, comme toujours.
Avec Amour,
Marilyn